Malheureusement, vingt secondes plus tard toujours aucune réponse de Dieu.
Bon, que je me disse laissons tomber Dieu, Léonnette Musclette et agissons nous-même.
Et voilà comment, deux minutes plus tard, j'étais dans la soucoupe et que l'empire de ce puissant Aketok d'occasion du bon coin des mauvaises affaires s'était effondré.
Oui, j'en oublie en route, oui, j'ai tellement hâte de revoir l'auberge des moines.
Nous avons soif nous autres.
Est-ce que la sœur allait devenir un peu plus claire dans ses explications ?
Donc, j'étais toujours prisonnière dans ma prison et pour me remonter le moral je me mis à chanter, notre damne d'un pari.
- La notre-dame de Paris, voulez-vous dire sœur Mathilde ?
- Mais non, mon chat fils Pépère, notre damne d'un pari.
Oui, la damnation du prisonnier pris à son propre pari sur le fait de réussir son acte illégal.
Célèbre comédie musicale écrite pour ceux qui n'ont pas la santé ou ceux que l'on freine, ha ha ha, oui, je suis diabolique.
Sœur Mathilde, vomi ce clown et arrêtons de parler de ces deux magnifiques lieux liés à la débauche corporelle.
- Je n'ai jamais entendu parler de cette comédie musicale, sœur Mathilde, c'est étonnant.
- Hé bien, ma chatte fille Ettesion, je mets en pause mon histoire et je vais vous en chanter un extrait.
Ce n'est pas l'histoire d'un pieu
Où s'amuse le bon Dieu
Avec sa blonde tous les deux
Histoire d'amour et de désir
Nous, les escrocs anonymes
De la rapine ou bien du crime
Tenterons de vous la transcrire
Pour les siècles à venir
Bienvenue dans le milieu carcéral
C'est la déprime cérébrale
Enfin, nous sommes entrés
Dans un nouveau guêpier
L'homme a voulu monter vers les étoiles
S'enrichissant en volant des toiles
Pour écrire son histoire
Dans un grand verre de bière
Bière après bière, jour après jour
De vol en larcin avec amour
Il en a joué des tours
Bienvenue dans le milieu carcéral
C'est la déprime cérébrale
Enfin, nous sommes entrés
Dans un nouveau guêpier
Non, pas de photos ni d'autographes, sœur Mathilde restera humble.
Donc, pour remonter le moral, je chantais cette célèbre comédie musicale qui fit fureur en prison.
Oui, mais voilà, cela me renvoyait ma condition de prisonnière en ce lieu.
Ce fut là que je décidais d'agir et de détruire ce puissant Aketok d'occasion du bon coin des mauvaises affaires qui avait affirmé devant moi qu'il allait conquérir la Terre.
Me souvenant de mes cours de loubarde en matière d'explosif, je me mettais en quête dans cet endroit bourré de machines électroniques à démonter différentes choses pour en faire une bombe artisanale.
Ensuite, me souvenant de mes cours d'électricité et d'électronique, je m'arrangeais pour créer des perturbations afin que l'on vienne voir ce qui se passait dans cette salle de contrôle.
Oui, n'oubliez pas qu'en électronique, je suis très douée. Avec une cigarette électronique, je suis arrivé une fois à foutre l'autel du père Dominique sens dessus, dessous et le vieux avait fini à l'hôpital. Oui, ce fut encore une journée hilarante ça vous pouvez me croire.
Enfin, bref, donc, deux espèces de robots venaient dans cette salle pour voir ce qui se passait.
Ils ne furent pas déçus les bougres, il ne leur a rien manqué, je peux vous l'assurer. Je les ai explosé à coups de défibrillateur.
Ensuite, en rampant au sol pour ne pas être vu des caméras par le puissant Aketok, j'arrivais sous son trône où je posais la bombe faite maison.
Il me restait dix minutes et je mettais ma vie entre les mains de Dieu pour sauver la Terre de ce monstre mécanique.
Ensuite, je revins en rampant jusqu'à la salle où j'avais ligoté les deux robots.
Je les prenais alors en otage pour arriver jusqu'à une soucoupe.
Oui, celle-là même qui est derrière nous.
Grâce à mes compétences en conduite soucoupale je ramenais cette soucoupe jusqu'ici.
En quittant Charnïa, je savais que mon plan diabolique avait fonctionné, car la base du puissant Aketok partait en fumée après une explosion terrible que je vis des hublots de la soucoupe.
Je mettais ensuite en guenilles ces deux robots et me voilà après avoir écrasé cette soucoupe en ce lieu même.
Bon, ce n'est pas tout ça mon chat fils Pépère, j'ai soif, je n'ai plus rien dans mon kit de survie, vite allons à l'auberge des moines.
Mais qu'allait-il répondre à ça, Pépère ?
La suite demain.
Bon, que je me disse laissons tomber Dieu, Léonnette Musclette et agissons nous-même.
Et voilà comment, deux minutes plus tard, j'étais dans la soucoupe et que l'empire de ce puissant Aketok d'occasion du bon coin des mauvaises affaires s'était effondré.
Oui, j'en oublie en route, oui, j'ai tellement hâte de revoir l'auberge des moines.
Nous avons soif nous autres.
Est-ce que la sœur allait devenir un peu plus claire dans ses explications ?
Donc, j'étais toujours prisonnière dans ma prison et pour me remonter le moral je me mis à chanter, notre damne d'un pari.
- La notre-dame de Paris, voulez-vous dire sœur Mathilde ?
- Mais non, mon chat fils Pépère, notre damne d'un pari.
Oui, la damnation du prisonnier pris à son propre pari sur le fait de réussir son acte illégal.
Célèbre comédie musicale écrite pour ceux qui n'ont pas la santé ou ceux que l'on freine, ha ha ha, oui, je suis diabolique.
Sœur Mathilde, vomi ce clown et arrêtons de parler de ces deux magnifiques lieux liés à la débauche corporelle.
- Je n'ai jamais entendu parler de cette comédie musicale, sœur Mathilde, c'est étonnant.
- Hé bien, ma chatte fille Ettesion, je mets en pause mon histoire et je vais vous en chanter un extrait.
Ce n'est pas l'histoire d'un pieu
Où s'amuse le bon Dieu
Avec sa blonde tous les deux
Histoire d'amour et de désir
Nous, les escrocs anonymes
De la rapine ou bien du crime
Tenterons de vous la transcrire
Pour les siècles à venir
Bienvenue dans le milieu carcéral
C'est la déprime cérébrale
Enfin, nous sommes entrés
Dans un nouveau guêpier
L'homme a voulu monter vers les étoiles
S'enrichissant en volant des toiles
Pour écrire son histoire
Dans un grand verre de bière
Bière après bière, jour après jour
De vol en larcin avec amour
Il en a joué des tours
Bienvenue dans le milieu carcéral
C'est la déprime cérébrale
Enfin, nous sommes entrés
Dans un nouveau guêpier
Non, pas de photos ni d'autographes, sœur Mathilde restera humble.
Donc, pour remonter le moral, je chantais cette célèbre comédie musicale qui fit fureur en prison.
Oui, mais voilà, cela me renvoyait ma condition de prisonnière en ce lieu.
Ce fut là que je décidais d'agir et de détruire ce puissant Aketok d'occasion du bon coin des mauvaises affaires qui avait affirmé devant moi qu'il allait conquérir la Terre.
Me souvenant de mes cours de loubarde en matière d'explosif, je me mettais en quête dans cet endroit bourré de machines électroniques à démonter différentes choses pour en faire une bombe artisanale.
Ensuite, me souvenant de mes cours d'électricité et d'électronique, je m'arrangeais pour créer des perturbations afin que l'on vienne voir ce qui se passait dans cette salle de contrôle.
Oui, n'oubliez pas qu'en électronique, je suis très douée. Avec une cigarette électronique, je suis arrivé une fois à foutre l'autel du père Dominique sens dessus, dessous et le vieux avait fini à l'hôpital. Oui, ce fut encore une journée hilarante ça vous pouvez me croire.
Enfin, bref, donc, deux espèces de robots venaient dans cette salle pour voir ce qui se passait.
Ils ne furent pas déçus les bougres, il ne leur a rien manqué, je peux vous l'assurer. Je les ai explosé à coups de défibrillateur.
Ensuite, en rampant au sol pour ne pas être vu des caméras par le puissant Aketok, j'arrivais sous son trône où je posais la bombe faite maison.
Il me restait dix minutes et je mettais ma vie entre les mains de Dieu pour sauver la Terre de ce monstre mécanique.
Ensuite, je revins en rampant jusqu'à la salle où j'avais ligoté les deux robots.
Je les prenais alors en otage pour arriver jusqu'à une soucoupe.
Oui, celle-là même qui est derrière nous.
Grâce à mes compétences en conduite soucoupale je ramenais cette soucoupe jusqu'ici.
En quittant Charnïa, je savais que mon plan diabolique avait fonctionné, car la base du puissant Aketok partait en fumée après une explosion terrible que je vis des hublots de la soucoupe.
Je mettais ensuite en guenilles ces deux robots et me voilà après avoir écrasé cette soucoupe en ce lieu même.
Bon, ce n'est pas tout ça mon chat fils Pépère, j'ai soif, je n'ai plus rien dans mon kit de survie, vite allons à l'auberge des moines.
Mais qu'allait-il répondre à ça, Pépère ?
La suite demain.